❧ date de naissance 10 / 06 / 27 ❧ age 22 ans ❧ lieu de naissance pasadena (californie) ❧ surnom beth ❧ activité vedette du fred astaire's cabaret où elle y chante et danse. continue à offrir son corps mais à la classe supérieure. ❧ statut civilcélibataire. ❧ origine social pauvre. ❧ religion aucune. ❧ popularité ★ ★ ★ ★ ★ ❧ rôle bien que très peu expérimentée au départ, lizabeth s'est révélée être une très bonne chanteuse et ses courbes aventageuse et sa grâce ont fait d'elle une bonne danseuse. elle travaille très dur pour rester au niveau et à la hauteur de cette réputation.
❧ forces lizabeth est mue par une profonde envie de vivre et donc n'abandonne jamais. c'est une battante, une force de la nature lorsqu'il s'agit de survie. elle a très peu de scrupules et est prête a tellement pour assurer sa position. ❧ faiblesses malgré sa détermination, elle n'en reste pas moins une femme, une faible femme qui est née sans le sou et sans aucun réseau social pour s'en sortir. elle est aussi dotée d'un très profond sens de l'altruisme qui l'oblige à aider les plus démunis. elle a aussi tendance à ne pas s'en vouloir d'écraser quiconque ne mérite pas ce qui lui arrive tout droit dans l'assiette.
❧ avis sur la pègre et la corruption "Elle ne crache pas sur la pègre. Comment le pourrait-elle alors que c’est grâce à elle, ou plutôt grâce à un de ses maillons qu’elle en est là aujourd’hui. Ceci dit il est certain qu’elle s’imagine qu’un jour la chance tournera et qu’il sera plus compliqué pour elle de survivre justement à cause de ses liens. C’est comme toutes les choses de la vie, un couteau à double tranchant. Cela peut être bon ou mauvais, tout dépend de quel côté du canon du flingue vous vous trouvez. "
❧ Mentalité
Si je devais dresser le portrait de moi même, je commencerais par mes défauts : solitaire, dépendante et trop perfectionniste. Par contre, n'oubliez pas que la persévérance, l'optimisme et la détermination font partie de mes qualités.
❧ A savoir
❧ elle ne pense pas dépasser les trente ans. ❧ a tendance à ériger en héros les rares personnes qui ont déjà été généreuses avec elle. ❧ si elle parait très discrète c’est principalement parce qu’elle ne sait pas comment s’ouvrir. Elle a toujours plus ou moins vécu seule et intégrer un groupe est assez difficile pour elle. ❧ la violence ne l'effraie pas vraiment, elle a l'habitude des images peu glorieuses de la vie, ou la mort.
Les coups, les coups de poings, les coups de buttoir, c’est ce qui rythmait la vie de Lizabeth. Toujours plus, toujours plus fort. N’importe où, n’importe quand. Et il fallait prendre. Absorber, tout absorber. La douleur, la peine, la colère, la honte. Et avancer. Encore ou toujours. Se relever ou mourir. C’est la règle dans les bas fonds de los angeles, dans la rue. Il n’y avait qu’elle, il n’y avait toujours eu qu’elle. Sa mère, qui qu’elle puisse avoir été n’était justement plus et son père, qui qu’il soit n’avait probablement jamais été mit au courant de son existence. Et quelle existence. L’orphelinat, l’esclavage, la rue, la prostitution. Toute une collection de toutes les immondices dont sont capables les êtres humains. Et finalement, la misère. Vendre son corps pour pouvoir manger, dormir, se laver. Mendier pour survivre.
Et quelque part avant qu’elle ne décide de rendre les armes, souillon qu’elle était, affamée et faible, si faible, il l’a vu. Il n’a pas fait que l’apercevoir en passant. Il a saisi, il a saisi tout ce qu’elle avait du faire pour en arriver là, toute la détermination, la rage de vivre qu’elle entretenait sauvagement. Du moins c’est ce qu’elle pense. Pour quelle autre raison l’aurait-il récupéré sinon ? Elle ne luttait plus pour se nourrir, pour se laver. N’avait plus à mendier, à vivre dans cette peur permanente de ne pas se réveiller si jamais l’on s’endort. Elle était danseuse. De temps en temps. Lorsqu’il n’y avait personne d’autre pour remplacer les grandes. Elle était prostituée. Mais la peur s’était envolée, c’était devenu un job plus qu’une nécessité, un échange de bons procédés plus qu’une façon de rester en vie. Finalement, dans cet écran étroit de la pègre, elle avait cette sensation d’être libre, en sécurité.
Jusqu’à ce que l’illusion s’érode violemment. Trois côtes cassées, la pommette droite fêlée, un œil au beurre noir, des contusions multiples. C’était le dur prix du retour à la réalité. Elle n’était rien. Elle n’était toujours personne. La remplaçante. Une parmi tant d’autre. C’est alors qu’on lui a dit ce qu’il avait fait pour elle, allongé dans sa chambre, incapable de bouger sans qu’un râle transperce ses lèvres. Il l’avait fait tuer. Il avait tué quelqu’un pour elle. Personne n’avait ôté la vie de quelqu’un pour elle. Personne n’en avait jamais fait autant que lui. Désormais, abandonner n’était même plus une option. Parce qu’elle n’était pas n’importe qui. Elle était Lizabeth Renner, nouvelle artiste du cabaret. Loin de lui être monté à la tête, la célébrité la poussait à donner plus, toujours plus. Elle était pratiquement devenue intouchable, affiche de spectacle, et surtout à lui. Elle était à lui.
❧ pseudo dooonc, je m'appelle alyson, j'ai vingt-et-un ans et j'ai été jusqu'à changer d'écran pour pouvoir rester ici. sérieux, l'idée de départ est géniale et la façon dont vous l'avez mené à bien est extraordinaire!
some like it hot, we love it burnt
Marylin... Ah Marylin...
Nice to meet you, this is Lizabeth Renner
❧ PSEUDO : aly
❧ À L.A. DEPUIS LE : 20/04/2013
❧ MESSAGES : 13
❧ AVATAR : doutzen k.
❧ COPYRIGHT : lady fame
❧ DOLLARS : 19
Posté le Dim 21 Avr - 14:28
❧ i belong with you. ❧
they call me the wanderer.
« Tu n’es pas là Beth, tu n’es pas là. » Elle détecte quelques mots dans le brouillard de ses cris. Le sang pulse à ses oreilles, une goute de transpiration glisse le long de son dos alors qu’elle s’arrête et essaie de calmer les saccades de son cœur. Elle est là. Elle est bien et bien là, les pieds sur scène, le corps courbaturé. La musique s’arrête et le silence se fait soudainement pesant. Comme si chaque conversation s’était tue en même temps. Lorsqu’elle leva la tête elle comprit pourquoi, il était entré. Il faisait toujours cet effet là au premier abord. Le silence, troublant prenait une ampleur invraisemblable avant que le cours des choses ne reprenne. C’était presque comme si le monde retenait son souffle de peur qu’il ne s’en prenne à lui. Il était parti aussi vite qu’il était arrivé, passant d’une activité à l’autre, sans leur accorder la moindre attention. Il n’avait pas besoin de la regarder, il le savait. Elle était là, elle était à lui. Elle était là. « C’est bon. » Elle ne comptait pas s’excuser, elle travaillait depuis déjà plus d’une heure sur cette chorégraphie. Elle donnait tout ce qu’elle pouvait, tout ce qu’elle avait et même plus. Elle n’allait pas s’excuser. (...) Elle ne sentait plus ses pieds. On les lui avait pourtant léchés la veille. Lizabeth ne comprenait jamais pourquoi ils faisaient ça. Pourquoi ces hommes capable de tout, et surtout de tout avoir devait payer une femme pour leur lécher les orteils. C’était l’étrangeté même de la nature humaine. A la limite de l’épuisement, elle s’arrêta où elle était et posa tout simplement son postérieur sur la scène. Ils ouvraient dans moins de trois heures. Et elle était prête. Enfin prête. Cet enchainement ne lui posait plus aucun problème. Sa voix restait posée et juste tout du long. Elle serait au maximum de ses capacités. Donner. Tout donner. Encore, et encore.
Alors qu’elle lève la tête, le sang est ce qu’elle distingue le mieux à cette distance. Les taches écarlates qui contrastent avec la pâleur d’une peau blanche. Beth s’y connait peu, si peu mais autant de sang ne signifie rien de bon pour son interlocuteur. Il est probablement mort à l’heure qu’il est, au bord d’un trottoir, sur le lit d’un motel crasseux, au fond d’une rivière. Elle devrait ressentir quelque chose, n’importe quoi. Elle le sait mais ce n’est pas le cas. Quelqu’un est mort et rien ne vient. Rien. C’est monnaie courante. Les gens vivent et meurent. Et avec la pègre ici, c’est encore plus courant, un moyen de régler les comptes, de s’assurer d’avoir été entendu. Finalement, elle ressent bien du soulagement. A l’idée d’être en vie, d’être entourée, protégée. Sauve. Elle est affreusement heureuse d’être saine et sauve. Peu importe qu’elle se donne à toute la pègre, peu importe qu’il la regarde chaque soir avec l’envie de la posséder. Elle est là, et elle est à lui. Intouchable.
some like it hot, we love it burnt
Marylin... Ah Marylin...
Nice to meet you, this is Janice M. Hopper
❧ PSEUDO : golden mind. / Flora
❧ À L.A. DEPUIS LE : 28/02/2013
❧ MESSAGES : 226
❧ AVATAR : scarlett johansson.
❧ COPYRIGHT : bazzart.
❧ DOLLARS : 204
❧ MULTICOMPTES : hedda 'skeeter' snicket.
❧ ÂGE DU PERSO : 28 ans.
❧ OCCUPATION : chanteuse et danseuse au Fred Astaire Cabaret et prostituée de luxe pour continuer à monter sur scène.
❧ STATUT CIVIL : célibataire. elle ne peut se résoudre à abandonner son idéal amoureux...
❧ ADRESSE : uc.
Posté le Dim 21 Avr - 14:48
Bienvenuuuuuuuuuue super contente que le scénario soit pris, il est juste énorme *o*
bonne chance pour faire ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas ! :)
Bienvenue sur le forum ! Excellent choix de scénario, et puis Doutzen
Al Capone's lover
Nice to meet you, this is Dean A. Walsh
❧ PSEUDO : frappévanille
❧ À L.A. DEPUIS LE : 18/02/2013
❧ MESSAGES : 131
❧ AVATAR : jake gylenhaal
❧ COPYRIGHT : bardadoll
❧ DOLLARS : 41
❧ ÂGE DU PERSO : 27 ans
❧ OCCUPATION : Gérant du Fred Astaire's Cabaret, il est actuellement au service de la prostitution. L'endroit cache, dans ses sous sols des evenements privés dont il est maître.
PUTIN WHAOU, bien joué :) Franchement j'adore :) Désolé de ne pas t'avoir souhaité la bienvenue avant mais la franchement, avec ce personnage que tu t'es si bien approprié, tu me met en joie J'adore ta plume et ais pris énormément de plaisir à te lire ! Alors un immense bienvenue à toi et surtout merci
Marylin... Ah Marylin...
Nice to meet you, this is Lizabeth Renner
❧ PSEUDO : aly
❧ À L.A. DEPUIS LE : 20/04/2013
❧ MESSAGES : 13
❧ AVATAR : doutzen k.
❧ COPYRIGHT : lady fame
❧ DOLLARS : 19
Posté le Dim 21 Avr - 19:34
merci beaucoup noé ouah, je suis vraiment, vraiment contente que ça te plaise du coup. et pas de soucis, surtout vu les compliments donc merci à toi et je t'assure que le plaisir est pour moi!